Jak może wyglądać jazda na rowerze w Levallois-Perret.
Jak może wyglądać jazda na rowerze w Paryż.

Szybka przejażdżka rowerowa z Levallois-Perret do Paryż

Dostosuj własną trasę na podstawie naszego szablonu lub zobacz, jak nasza społeczność najchętniej jeździ z Levallois-Perret do Paryż.

Szablon trasy

Z Levallois-Perret do Paryż

36 min
Czas
10,4 km
Dystans
64 m
Przewyższenia
65 m
Spadek
17,2 km/h
Śr. Prędkość
76 m
Maks. wysokość

Here’s a laid-back cycling route from Levallois-Perret to central Paris – ideal for a casual urban adventure. Starting in the bustling suburb of Levallois-Perret, known for its leafy streets and classic Art Deco architecture, you’ll wind your way about 10 km to the heart of Paris. Most of the route is on smooth asphalt with separate cycleways, making for a stress-free ride.

Expect gentle ups and downs; you’ll climb roughly 64 meters and descend about the same, but it’s nothing too steep. The path feels safe and pleasant, sticking mostly to dedicated bike lanes or quieter roads. You’ll get a flavor of real Parisian neighborhoods, with a few stretches over charming paving stones or cobbled sections—just enough to remind you you’re in a city with history!

As you roll into Paris proper, soak in the changing views: from suburban calm to city buzz, with iconic landmarks peeking into sight. End your journey near the Seine and enjoy a well-earned break at a classic Paris café—Paris awaits!

Wspólnota

Najlepsi użytkownicy w tym regionie

Od naszej społeczności

Najlepsze trasy rowerowe z Levallois-Perret do Paryż

RAC Mardi 2 Décembre
Rower szosowyNieutwardzony
0

RAC Mardi 2 Décembre

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

Ride A La Cool  du 02-12-2014<br />   D&eacute;part 21h00 : Centre Place Perreire Arriv&eacute;e : Le Dragon&nbsp; Nord de Paris - Mar&eacute;chaux - Vincennes
33,4 km
Dystans
189 m
Przewyższenia
186 m
Spadek
0

Parcours GEOVELO - Histoire et gourmandise

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

L’histoire de Paris s’écrit aussi grâce à ces grandes maisons qui perpétuent un savoir faire gourmand bien souvent plus que centenaire. Des boutiques anciennes, aux devantures ou intérieurs régulièrement classés monuments historiques. On trouve dans ces lieux incontournables à la renommée internationale, macarons, babas au rhum, opéra, ou crèmes glacées d’une qualité exceptionnelle. DALLOYAU (1802) Tout commence pour Charles Dalloyau à Chantilly. Il se fait remarquer par le roi Louis XIV chez le prince de Condé. Engagé à Versailles, lui et sa famille servent pendant un siècle (1682-1789), rois et reines à des postes de haute responsabilités culinaires: pain, fruits, légumes, entremets, potages... L’Europe entière a vent de leur savoir faire. Après la révolution, c’est le retour à Paris des officiers de bouche. Quand ces derniers ouvrent en 1802 leur “Maison de Gastronomie” avec leur concept de “prêt à emporter”, ils sont loin d’imaginer qu’il ont donné naissance au concept de “traiteur”. Un nom, devenu une marque, qui incarne à jamais les grandes réceptions à la française. Cyriaque Gavillon, reprend la maison et créé en 1955, l’Opéra. Un gâteau au chocolat, en hommage aux petits rats de l’Opéra, de forme carré et moins sucré. Une vraie révolution et un classique, aujourd’hui, de la pâtisserie française. 101 rue du Faubourg Saint-Honoré LADUREE (1862) Le macaron est un petit gâteau rond, plutôt croquant et présent dans la gastronomie de diverses régions de France. Sa vogue internationale commence en 1862, lorsque naît l’idée originale d’accoler deux macarons l’un à l’autre, prenant une garniture en sandwich. Voilà comment est né la spécialité de la maison Ladurée. C’est dans ce quartier déjà très en vogue, que Mme Ladurée à l’idée d’ouvrir près de la pâtisserie un lieu de dégustation raffiné: Boiseries claires, sièges dorés et peintures parsemées d’angelots pâtissiers du peintre Jules Chéret. Un établissement d’un genre nouveau est né! Plus proche du salon que du café, le “salon de thé” accueille ainsi les femmes en toute liberté. En 1892, le nom et la mode sont lancés. L’enseigne est aujourd’hui un lieu emblématique de Paris. DEBAUVE ET GALLAIS (1802) Tout commence avec la migraine de Marie-Antoinette qui refuse les médicaments amers que lui propose, Sulpice Debauve, pharmacien de son état. Ce dernier a l’idée d’enrober le remède de chocolat. La reine gobe la pistole et perd sa migraine. En l’espace d’une bouchée, Debauve devient chocolatier et invente le premier chocolat à croquer, les fameuses “Pistoles Marie-Antoinette”. En 1800, désormais associé à son neveu Gallais, il se met à servir Napoléon et crée pour lui les premiers chocolats aux fruits secs (“Croquamandes”). En 1817, il ouvre une boutique rutilante dessinée par les architectes Percier et Fontaine, à l’adresse actuelle. La 9e génération de la famille prend soin de cette entreprise et continue d’offrir aujourd’hui aux passionnés de chocolat, les produits mythiques de la maison mais aussi des nouveautés. GLACES BERTHILLON En 1954, Raymond Berthillon, qui tient avec sa belle-mère et son épouse un café hotel, décide de remettre en service une turbine à glace que vous pouvez d’ailleurs admirer aujourd’hui dans le salon de thé. La crème glacée entre au menu et c’est le succès. Il élabore ses glaces avec des produits de haute qualité : lait entier, œufs, crème fraîche qu’il va acheter dès l’aube aux halles. Les critiques Henri Gault et Christian Millau écrivent sur lui: “cet étonnant glacier qui se cache dans un bistrot”. Rapidement, le tout Paris accourt et 60 ans plus tard, les glaces Berthillon comptent parmi les 10 meilleures du monde. Tous les cafés de l’île les proposent d’ailleurs à la carte. Parmi les 90 parfums, les vedettes sont le sorbet fraise des bois, l’été, le marron glacé, l’hiver, et la vanille toute l’année. PATISSERIE STOHRER (1730) C’est l’une des plus anciennes pâtisseries de Paris, puisque Nicolas Stohrer s’y installe en 1730. Le pâtissier de Louis XV s’est dit qu’une clientèle l’attendait sûrement à Paris. Il choisit la rue Montorgueil, une rue toute entière dédiée aux métiers de bouche. Nicolas Stohrer apporte sa touche au concert de saveurs locales en proposant sa création, le baba. Une brioche inspirée d’une spécialité polonaise et arrosée cette fois-çi de rhum. Les contes orientaux et le héros persan Ali-Baba sont à la mode, Stohrer tire ainsi parti d’un succès littéraire pour en faire une réussite gastronomique au nom du personnage. L’autre spécialité de la maison est son “puits d’amour”, un dessert à base de crème pâtissière surmonté d’un caramel croquant. Quant au décor somptueux de la boutique, il est classé monument historique et est signé par Paul Baudry qui a œuvré au décor de l’Opéra Garnier. Immanquable. E. Dehillerin (1820) C’est l’adresse des passionnés de cuisine. Un magasin tout entier dédié aux articles de cuisine qui est, encore aujourd'hui, entre les mains des descendants d’Eugène Dehillerin, son fondateur. Issu d’une famille noble ruinée par la révolution française, ce négociant fait l’acquisition de son premier magasin de quincaillerie en 1880, tout près des halles, “le ventre de Paris”. Ses clients, les restaurateurs, viennent ici se fournir en produits frais. L’entreprise de Mr. Dehilerin prospère et devient une référence, allant jusqu’à équiper les cuisines du Titanic. En franchissant la porte du 20 rue de la Coquillère, on s’offre un véritable voyage dans le temps: articles rares, vendeurs spécialisés, remise de tickets pour l’encaissement… La maison Dehillerin a su capter l’air du temps tout en conservant ce qui a fait sa renommée. En remontant le quartier jusqu’au 58 rue Tiquetonne, ne manquez pas l’échoppe G. Detou, comme son nom l’indique vous trouverez tout ce dont vous aurez besoin en pâtisserie, il a tout! 18 et 20 rue Coquillère LE GRAND VEFOUR Cet établissement a traversé le temps, à l’abris des quartiers à la modes. A ses débuts, en 1784, le lieu s’appelait alors le Café de Chartres. Un établissement prestigieux, orné de boiseries sculptées. Aux murs, les glaces alternent avec les fameuses toiles peintes, fixées sous verre qui s’inspirent des fresques de Pompéi: gibiers, poissons et femmes aux paniers fleuris. L’histoire commence avec le Duc D’Orléans. Cet héritier du palais, à court d’argent, a l’idée, en 1781, de faire construire autour du jardin des bâtiments à louer. On s’y loge mais surtout, sous les arcades, dans les galeries et entresols, s’établissent des salles de jeux, des maisons de prostitutions, de nombreux cafés et “restaurants” dont le Café de Chartre. On y croise toute la société parisienne mais surtout c’est dans ces lieux que se retrouvent les partisans de l’opposition politique aux côtés des fins gourmets. En 1820, Jean Vefour achète le Café de Chartres. Son ambition: faire de cet ancien bistrot un restaurant somptueux. Au fil des ans, il passera entre les mains de plusieurs amoureux du lieu. Restauré, il est aujourd’hui la maison de l’actuel Chef étoilé, Guy Martin qui fait du Grand Vefour un lieu d’exception de la gastronomie parisienne. A LA MERE DE FAMILLE (1761) Marie-Adélaïde Bridault est la figure tutélaire de la plus vieille confiserie de Paris. Son père, épicier de profession, choisit de s’installer en 1760 au faubourg Montmartre. Le quartier n’est alors qu’au début de son urbanisation mais dès le XIXe siècle, la boutique se retrouve au cœur des théâtres des boulevards et des ateliers d’artistes. Dorénavant produit en Europe grâce à la betterave, le sucre est à la mode. L’épicerie fine cède ainsi la place à une confiserie. La boutique passe en 1895, de la famille Bridault à la famille Lecoeur qui ravivera la façade et la renommée de la boutique. En 1985, le maître chocolatier Serge Neveu tombe sous le charme et s’établit ici, faisant du lieu une référence du chocolat à Paris. Depuis 2000, c’est la famille Dolfi qui est passé derrière le comptoir de cette boutique ancestrale dont la façade est classée monument historique. Le peintre André Renoux, spécialiste des façades anciennes, lui croquera également le portrait.  
12 km
Dystans
68 m
Przewyższenia
67 m
Spadek
0

15 Rue de Miromesnil, Paris à 30 Boulevard du Montparnasse, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

3,3 km
Dystans
10 m
Przewyższenia
0 m
Spadek
0

Avenue Franklin Delano Roosevelt, Paris à 152 Rue de Grenelle, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

1,6 km
Dystans
10 m
Przewyższenia
7 m
Spadek
Paolo Paris Marathon
Rower szosowyUtwardzony
Paolo Liverini
1

Paolo Paris Marathon

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

Nouvelle Paris Marathon
42,8 km
Dystans
179 m
Przewyższenia
201 m
Spadek
0

Parcours GEOVELO - Paris Elegance

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

Après la deuxième Guerre Mondiale, de nombreux couturiers français sortent leurs créations de l’atelier et les exposent au grand public à l'exemple de Christian Dior. La capitale accueille à l'époque de nombreux sites qui font d’elle un haut lieu des « fashionistas ». Les plus grandes firmes internationales trouvent aujourd’hui leur foyer dans des sites tels que l’Avenue Montaigne ou la Place Vendôme, où tissus et bijoux se mêlent pour faire de Paris « la capitale mondiale de la mode ». Avenue Montaigne Considérée comme le point focal du luxe, l’avenue Montaigne abrite une grande partie des enseignes qui font de Paris la capitale de la mode. En effet, il s’agit d’un haut lieu de la confection parisienne dont les vitrines exhibent les nouvelles tendances en haute-couture. Ce tourisme de luxe, qui fait de cette allée la limite du « triangle d’or », s’est développé suite à l’installation de Christian Dior dans la zone après la seconde Guerre Mondiale. Ainsi, c’est grâce aux nombreuses vitrines exhibant les collections, que le visiteur peut avoir un aperçu de la création de la haute-couture parisienne. Palais Galliera Suite à la deuxième Guerre Mondiale, que le grand public présente un intérêt croissant pour le costume historique et le vêtement contemporain, ce qui fait que les dons à la Société de l’Histoire du Costume, créée en 1907, s’incrémentent. Appartenant au réseau des Musées de la Ville de Paris, le Musée de la Mode et du Costume s’installe finalement au palais Galliera en 1977 et accueille des collections allant du XVIIIème siècle jusqu’à nos jours. Chaque année, de nombreux dons viennent enrichir le fond des collections du musée pour en faire de lui le reflet de la mode française. Champs Élysées Même si chaque année l’avenue des Champs-Elysées est le cadre d’évènements populaires tels que le défilé du 14 juillet ou l’arrivée du Tour de France, « la plus belle avenue du monde » accueille de nombreuses enseignes de luxe. Portion emblématique de Paris, elle constitue une des trois limites du « triangle d’or », dans lequel tiennent les grandes boutiques qui rythment la mode parisienne. Des marques telles que Guerlain, Cartier ou Louis Vuitton font de ce lieu un emblème et une vitrine publicitaire de la mode française. Faubourg Saint-Honoré Marie-Antoinette se fournissait, déjà à son époque, en produits de beauté et étoffes dans celui qui est aujourd’hui le deuxième haut-lieu de la mode parisienne après l’avenue Montaigne : la rue du Faubourg Saint-Honoré. Datant de l’époque médiévale, cette voie connait son apogée au XIXème siècle, au même temps que la mode féminine est révolutionnée par Coco Chanel. Elle sera l’une des premières à y installer sa boutique et son atelier, aujourd’hui au numéro 21. De nombreux couturiers de luxe, tels qu’Hermès ou Yves Saint-Laurent feront de même, ce qui contribuera à faire de ce lieu un des emblèmes parisiens de la haute couture. Place Vendôme Dans la finalité d’incarner le pouvoir absolu, Louis XIV fait construire, par Mansart, cette place au cœur de Paris. Outres les volontés politiques du monarque, ce lieu s’affiche aujourd’hui comme un haut-lieu de la joaillerie française. Par l’immersion dans les vitrines des boutiques qui logent ici, le visiteur se voit transporté dans un univers rempli de diamants, de rubis et d’émeraudes. Classées patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco, ces façades cachent des ateliers de joaillerie et abritent les boutiques plus luxueuses de Paris, telles que Cartier, Chaumet ou l’horloger Breguet.  
4,5 km
Dystans
32 m
Przewyższenia
39 m
Spadek
0

131–137 Avenue de Wagram, Paris à 139 Boulevard Saint-Michel, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

6,3 km
Dystans
39 m
Przewyższenia
29 m
Spadek
0

76 Rue de Prony, Paris à 408 Rue Saint-Honoré, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

3,3 km
Dystans
20 m
Przewyższenia
28 m
Spadek
0

Itinéraire à partir de Rue de Courcelles

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

5,4 km
Dystans
121 m
Przewyższenia
128 m
Spadek
Paris - Paris
Rower szosowyUtwardzony
0

Paris - Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

133,6 km
Dystans
486 m
Przewyższenia
493 m
Spadek
0

Rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris à Rue Beaurepaire, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

4,8 km
Dystans
16 m
Przewyższenia
17 m
Spadek
0

Rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris à Rue Beaurepaire, Paris

Trasa rowerowa w Levallois-Perret, Île-de-France, Francja

5,3 km
Dystans
27 m
Przewyższenia
57 m
Spadek

Odkryj więcej tras