À quoi pourrait ressembler le cyclisme dans la Boulogne-Billancourt.
À quoi pourrait ressembler le cyclisme dans la Clichy.

Sortie rapide à vélo de Boulogne-Billancourt à Clichy

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Modèle d’itinéraire

De Boulogne-Billancourt à Clichy

43 min
Durée
12,7 km
Distance
45 m
Montée
48 m
Descente
17,8 km/h
Vit. moyenne
57 m
Altitude max.

Commencez votre aventure cycliste depuis Boulogne-Billancourt, une banlieue animée juste au sud-ouest de Paris, connue pour sa scène culturelle vibrante et ses parcs verdoyants. En pédalant, l’itinéraire offre 12,7 kilomètres de terrain agréable, principalement de l’asphalte et du béton lisses, parfait pour une balade confortable.

Vous roulerez principalement sur des routes calmes et des pistes cyclables, ce qui rend le trajet paisible avec juste une touche d’activité urbaine. Profitez de la montée et de la descente agréables — elles sont suffisamment modérées pour vous permettre d’avancer confortablement sans trop transpirer.

En vous faufilant à travers les avenues pittoresques, prenez un moment pour apprécier quelques charmantes ambiances parisiennes le long du chemin. Et avant que vous ne vous en rendiez compte, vous descendrez à Clichy, une ville dynamique qui abrite une architecture variée et des marchés locaux animés. C’est l’endroit parfait pour terminer votre voyage, alors offrez-vous peut-être un café dans l’un des cafés chaleureux et imprégnez-vous de l’atmosphère locale.

Cette balade équilibre tranquillité et un soupçon d’effervescence urbaine, en faisant un choix délicieux pour les cyclistes réguliers comme pour les novices !

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Les meilleurs itinéraires à vélo de Boulogne-Billancourt à Clichy

1

Parcours GEOVELO - Les maisons des artistes

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

Paris est une capitale où règne une émulation culturelle qui attire depuis toujours de nombreux artistes. Cette balade propose une longue traversée de la ville pour aller à la rencontre de peintres, écrivains, musiciens ou plasticiens modernes. Ce sera l’occasion de s’arrêter devant des maisons-musées ou de pénétrer au fond de petites impasses secrètes de ces célébrités. Maison d'Hector Guimard Au 122 de l’avenue Mozart, se dresse une demeure aux formes végétales étranges. Ce fut l’hôtel particulier d’Hector Guimard, créateur des entrées du métro parisien et figure de proue du style Art Nouveau en France. Cette maison sera d’ailleurs sa dernière réalisation de ce style. Guimard la bâtit sur un lot de terrain malcommode et étroit. Un espace exigu dans lequel il fallait loger le bureau de l’agence de l’architecte, l’appartement du couple qu’il forme avec l’Américaine Adeline Oppenheim, et le studio de Madame qui était peintre. Tout cela se superposa à raison d’une fonction par étage. En 1938, les deux occupants partirent pour les Etats-Unis et y restèrent quand éclata la Seconde Guerre mondiale. Mme Guimard étant juive. Hector Guimard mourut là-bas, en 1942, loin de son cher Passy. Sa veuve propose alors à l’état de faire de ce lieu un musée mais elle essuie un refus: le mobilier est alors dispersé dans le monde. La maison ne sera reconnue monument historique qu’en 1964. Maison d'Honoré de Balzac Située sur les coteaux de Passy, la Maison de Balzac est la seule des demeures parisiennes du romancier qui subsiste aujourd’hui. Avec sa double entrée, l’écrivain avait le loisir d’échapper aux importuns et créanciers, par la porte arrière donnant sur la rue de Passy. Balzac y resta 7 ans, se consacrant à l’écriture de son cycle romanesque. Il travaillait dans un bureau spartiate, meublé uniquement d’une petite table et d’un grand fauteuil que l’on peut encore admirer dans la maison-musée ouverte sur les lieux en 1960. Un musée tout entier dédié à l’auteur où sont réunis portraits, sculptures, anciens manuscrits et objets personnels dont sa fameuse cafetière à réchaud, en porcelaine de Limoge. Elle lui permettait de maintenir au chaud le café qu’il consommait en grande quantité (une cinquantaine de tasses), lors de ses longues veilles. Georges Brassens C’est au fond de cette voie typique du XIXe siècle que vécu Brassens. Lorsqu’il frappa à la porte du numéro 9 en 1944, Georges venait de déserter pour ne pas retourner au Service du Travail obligatoire en Allemagne. Il se cacha ici, chez une amie de la famille, Jeanne Le Bonniec. Et malgré qu’elle soit mariée à Marcel, naîtra entre eux la première histoire d’amour de George. Il a 19 ans et Jeanne, 30 de plus. Elle investit toutes ses économies de couturière pour le soutenir. Elle lui offre d’ailleurs sa première guitare. Un véritable ménage à trois se met en place, dans ce petit coin de Paris, jusqu’à la fin de la guerre. Il confiera dans une lettre à un ami en 1949: “Sais-tu malheureux que Jeanne se borne à coudre sans lunettes, parce qu’un poète qu’elle aime fait passer l’art avant tout. Sais-tu que si j’envoyais l’art au diable je pourrais adoucir la vie de cette brave et unique femme”. La chanson viendra, le succès aussi. Il sait ce qu’il doit à Jeanne et, malgré le succès il restera encore un peu ici avec eux, jusqu’en 1966. Serge Gainsbourg La maison dans laquelle Serge Gainsbourg s’est installé en 1969, est comme la tombe oubliée d’une pyramide. Intacte et pleine de mystère. Ses enfants ont grandi dans cette maison aux murs peints en noir, remplie d’objets et d’instruments multiples. Le chanteur lui-même ne savait trop comment définir les lieux: “un sitting-room, une salle de musique, un bordel, un musée…”. A sa mort, la maison sera fermée. Aucun de ces enfants ne souhaitera s’y installer. Il faudra attendre le clip Lying With You, de Charlotte Gainsbourg, pour découvrir l’intérieur caché de la maison. La chanteuse a d’ailleurs relancé l’idée de faire de la maison un musée et d’ouvrir ses portes un jour au public. L’admiration des fans s’exprime depuis toujours sur la façade extérieur, faisant du 5bis un haut lieu du Street Art parisien. Malgré des ravalements réguliers, la « tête de chou » de Serge n’en finit pas de re-fleurir sous forme de tags, graffitis et pochoirs. 5 bis rue de Verneuil Picasso Picasso investit les deux derniers étages de cet immeuble, en 1937. Ils devinrent son « Grenier ». Les 28 et 29 avril 1937, on apprit le bombardement de la ville basque de Guernica par l’aviation allemande. Des milliers de bombes incendiaires tuèrent essentiellement des femmes et des enfants. L’indignation fut générale et chez Picasso, elle se mua en inspiration. Lui qui devait fournir une fresque pour le pavillon de l’Espagne à l’Exposition Internationale de Paris trouva le sujet qu’il allait traiter. Un mois seulement après l'événement, la toile était achevée. Elle se nomma : Guernica. Pendant la Seconde Guerre, la toile était à l’abri à New York. Picasso qui vivait toujours dans son grenier, y reçut, malgré lui, la visite de l’ambassadeur nazi à Paris, Otto Abetz. Voyant une photo de Guernica, celui-ci demanda, bien que connaissant la réponse : « C'est vous qui avez fait cela ? » Et Picasso, répondit : « Non..., c’est vous! ». Panache et courage, voilà ce que représente encore l’atelier des Grands-Augustins pour l’histoire de l’art et l’histoire tout court. Maison de Victor Hugo A 30 ans Hugo est un écrivain reconnu quand il s’installe en 1832 place des Vosges. Même si le Marais est un quartier délaissé, Hugo y loue un vaste appartement pour sa famille. Mais tout explose rapidement quand Mme Hugo trompe son mari avec Sainte-Beuve, ami de l’écrivain. Débute alors pour Hugo une autre vie. Il fera d’ailleurs installer à ses frais, à deux pas de chez lui, Juliette Drouet, sa maîtresse officielle. En visitant la maison de Victor Hugo, vous découvrirez qu’elle ne sera pas la seule. Dans sa chambre, à gauche de l’insolite écritoire qu’il a fait fabriquer pour écrire debout, se trouve une porte. C’est par ici que se faufilait entre autre Léonie Biard quand elle retrouvait l’écrivain lors de ses sessions d’écriture, où il ne fallait pas le déranger. Victor Hugo vécut ici seize ans, entouré d’une exubérante décoration chinée qui, si elle déplaisait à sa femme, séduisait tant Balzac, Dumas ou Musset. En 1851, il quitte Paris pour 20 ans d’exil et ne revient jamais Place des Vosges. Atelier de Constantin Brancusi Constantin Brancusi fut l’un des sculpteurs les plus influents du début du XXe siècle. Arrivé à Paris en 1904, il disparaît en 1957, léguant son atelier à l’Etat à une condition: que celui-ci reconstitue son atelier dans un musée. L’atelier situé dans le 15e arrondissement, n’avait cessé d’être agrandi depuis l’espace original investi en 1916, pour faire près de 500m². De plus, cette galerie d’oeuvres constitue un tout, les oeuvres se répondent entre elles, dans l’espace qui les contient. D’ailleurs, lorsqu’une œuvre était vendue, Brancusi la remplaçait par son moulage, pour préserver l’équilibre de cet ensemble. Disperser l’atelier aurait donc été trahir le propos de l’artiste. Une réplique des lieux fut donc faite en 1977, au pied du Centre Pompidou. 59 Rue de Rivoli C’est l’alternative culturelle au coeur de Paris. En 1999, des artistes occupent les locaux abandonnés par une banque et donnent au squat le nom de « Chez Robert, électron libre ». Les médias prennent fait et cause pour ce lieu d’échanges et de vie qui plaît au public. La Mairie de Paris rachète les lieux au propriétaire en 2005 et après trois ans de travaux, l’association 59 Rivoli réintégre le site. Depuis 2009, une trentaine d’ateliers ouvre tous les après-midis. On croise les artistes à l’œuvre, qui ne logent plus ici. On passe donc bien du squat à l’aftersquat: autrement dit d’un lieu libertaire et anarchique à une cité d’artistes soutenu par les pouvoirs publics. Le lieu est ainsi devenu un centre culturel qui accueille des expositions et des concerts. Ary Scheffer et le Musée de la Vie Romantique Ary Scheffer, est un peintre hollandais arrivé en famille à Paris en 1811. Artiste romantique, il appartenait à ce courant artistique qui s’attachait moins à décrire les grandes aventures historiques collectives que les sentiments individuels. A moins de 30 ans, il devint professeur de dessin des enfants de Louis-Philippe, duc d’Orléans. Lorsque ce dernier devint roi, la carrière de Scheffer décolla. Comme bien d’autres, il transcrivit cette réussite dans la pierre et acheta, sur les pentes de la Butte Montmartre, une maison entourée d’un petit jardin. Il y recevait une société illustre. Il n’était pas rare d’y croiser, le même soir, des hôtes aussi prestigieux que Delacroix, Chopin, Liszt, George Sand, Charles Dickens. Le quartier alentours était d’ailleurs plébiscité par les artistes, il faisait office de « République des Arts et des Lettres ». Les descendants de Scheffer y demeurèrent jusqu’en 1956. Puis, dans les années 1980, les lieux devinrent le Musée de la Vie Romantique 16 rue Chaptal
22,3 km
Distance
120 m
Montée
108 m
Descente
1

Parcours GEOVELO Les maisons des artistes

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

Paris est une capitale où règne une émulation culturelle qui attire depuis toujours de nombreux artistes. Cette balade propose une longue traversée de la ville pour aller à la rencontre de peintres, écrivains, musiciens ou plasticiens modernes. Ce sera l’occasion de s’arrêter devant des maisons-musées ou de pénétrer au fond de petites impasses secrètes de ces célébrités. Maison d'Hector Guimard Au 122 de l’avenue Mozart, se dresse une demeure aux formes végétales étranges. Ce fut l’hôtel particulier d’Hector Guimard, créateur des entrées du métro parisien et figure de proue du style Art Nouveau en France. Cette maison sera d’ailleurs sa dernière réalisation de ce style. Guimard la bâtit sur un lot de terrain malcommode et étroit. Un espace exigu dans lequel il fallait loger le bureau de l’agence de l’architecte, l’appartement du couple qu’il forme avec l’Américaine Adeline Oppenheim, et le studio de Madame qui était peintre. Tout cela se superposa à raison d’une fonction par étage. En 1938, les deux occupants partirent pour les Etats-Unis et y restèrent quand éclata la Seconde Guerre mondiale. Mme Guimard étant juive. Hector Guimard mourut là-bas, en 1942, loin de son cher Passy. Sa veuve propose alors à l’état de faire de ce lieu un musée mais elle essuie un refus: le mobilier est alors dispersé dans le monde. La maison ne sera reconnue monument historique qu’en 1964. Maison d'Honoré de Balzac Située sur les coteaux de Passy, la Maison de Balzac est la seule des demeures parisiennes du romancier qui subsiste aujourd’hui. Avec sa double entrée, l’écrivain avait le loisir d’échapper aux importuns et créanciers, par la porte arrière donnant sur la rue de Passy. Balzac y resta 7 ans, se consacrant à l’écriture de son cycle romanesque. Il travaillait dans un bureau spartiate, meublé uniquement d’une petite table et d’un grand fauteuil que l’on peut encore admirer dans la maison-musée ouverte sur les lieux en 1960. Un musée tout entier dédié à l’auteur où sont réunis portraits, sculptures, anciens manuscrits et objets personnels dont sa fameuse cafetière à réchaud, en porcelaine de Limoge. Elle lui permettait de maintenir au chaud le café qu’il consommait en grande quantité (une cinquantaine de tasses), lors de ses longues veilles. Georges Brassens C’est au fond de cette voie typique du XIXe siècle que vécu Brassens. Lorsqu’il frappa à la porte du numéro 9 en 1944, Georges venait de déserter pour ne pas retourner au Service du Travail obligatoire en Allemagne. Il se cacha ici, chez une amie de la famille, Jeanne Le Bonniec. Et malgré qu’elle soit mariée à Marcel, naîtra entre eux la première histoire d’amour de George. Il a 19 ans et Jeanne, 30 de plus. Elle investit toutes ses économies de couturière pour le soutenir. Elle lui offre d’ailleurs sa première guitare. Un véritable ménage à trois se met en place, dans ce petit coin de Paris, jusqu’à la fin de la guerre. Il confiera dans une lettre à un ami en 1949: “Sais-tu malheureux que Jeanne se borne à coudre sans lunettes, parce qu’un poète qu’elle aime fait passer l’art avant tout. Sais-tu que si j’envoyais l’art au diable je pourrais adoucir la vie de cette brave et unique femme”. La chanson viendra, le succès aussi. Il sait ce qu’il doit à Jeanne et, malgré le succès il restera encore un peu ici avec eux, jusqu’en 1966. Serge Gainsbourg La maison dans laquelle Serge Gainsbourg s’est installé en 1969, est comme la tombe oubliée d’une pyramide. Intacte et pleine de mystère. Ses enfants ont grandi dans cette maison aux murs peints en noir, remplie d’objets et d’instruments multiples. Le chanteur lui-même ne savait trop comment définir les lieux: “un sitting-room, une salle de musique, un bordel, un musée…”. A sa mort, la maison sera fermée. Aucun de ces enfants ne souhaitera s’y installer. Il faudra attendre le clip Lying With You, de Charlotte Gainsbourg, pour découvrir l’intérieur caché de la maison. La chanteuse a d’ailleurs relancé l’idée de faire de la maison un musée et d’ouvrir ses portes un jour au public. L’admiration des fans s’exprime depuis toujours sur la façade extérieur, faisant du 5bis un haut lieu du Street Art parisien. Malgré des ravalements réguliers, la « tête de chou » de Serge n’en finit pas de re-fleurir sous forme de tags, graffitis et pochoirs. 5 bis rue de Verneuil Picasso Picasso investit les deux derniers étages de cet immeuble, en 1937. Ils devinrent son « Grenier ». Les 28 et 29 avril 1937, on apprit le bombardement de la ville basque de Guernica par l’aviation allemande. Des milliers de bombes incendiaires tuèrent essentiellement des femmes et des enfants. L’indignation fut générale et chez Picasso, elle se mua en inspiration. Lui qui devait fournir une fresque pour le pavillon de l’Espagne à l’Exposition Internationale de Paris trouva le sujet qu’il allait traiter. Un mois seulement après l'événement, la toile était achevée. Elle se nomma : Guernica. Pendant la Seconde Guerre, la toile était à l’abri à New York. Picasso qui vivait toujours dans son grenier, y reçut, malgré lui, la visite de l’ambassadeur nazi à Paris, Otto Abetz. Voyant une photo de Guernica, celui-ci demanda, bien que connaissant la réponse : « C'est vous qui avez fait cela ? » Et Picasso, répondit : « Non..., c’est vous! ». Panache et courage, voilà ce que représente encore l’atelier des Grands-Augustins pour l’histoire de l’art et l’histoire tout court. Maison de Victor Hugo A 30 ans Hugo est un écrivain reconnu quand il s’installe en 1832 place des Vosges. Même si le Marais est un quartier délaissé, Hugo y loue un vaste appartement pour sa famille. Mais tout explose rapidement quand Mme Hugo trompe son mari avec Sainte-Beuve, ami de l’écrivain. Débute alors pour Hugo une autre vie. Il fera d’ailleurs installer à ses frais, à deux pas de chez lui, Juliette Drouet, sa maîtresse officielle. En visitant la maison de Victor Hugo, vous découvrirez qu’elle ne sera pas la seule. Dans sa chambre, à gauche de l’insolite écritoire qu’il a fait fabriquer pour écrire debout, se trouve une porte. C’est par ici que se faufilait entre autre Léonie Biard quand elle retrouvait l’écrivain lors de ses sessions d’écriture, où il ne fallait pas le déranger. Victor Hugo vécut ici seize ans, entouré d’une exubérante décoration chinée qui, si elle déplaisait à sa femme, séduisait tant Balzac, Dumas ou Musset. En 1851, il quitte Paris pour 20 ans d’exil et ne revient jamais Place des Vosges. Atelier de Constantin Brancusi Constantin Brancusi fut l’un des sculpteurs les plus influents du début du XXe siècle. Arrivé à Paris en 1904, il disparaît en 1957, léguant son atelier à l’Etat à une condition: que celui-ci reconstitue son atelier dans un musée. L’atelier situé dans le 15e arrondissement, n’avait cessé d’être agrandi depuis l’espace original investi en 1916, pour faire près de 500m². De plus, cette galerie d’oeuvres constitue un tout, les oeuvres se répondent entre elles, dans l’espace qui les contient. D’ailleurs, lorsqu’une œuvre était vendue, Brancusi la remplaçait par son moulage, pour préserver l’équilibre de cet ensemble. Disperser l’atelier aurait donc été trahir le propos de l’artiste. Une réplique des lieux fut donc faite en 1977, au pied du Centre Pompidou. 59 Rue de Rivoli C’est l’alternative culturelle au coeur de Paris. En 1999, des artistes occupent les locaux abandonnés par une banque et donnent au squat le nom de « Chez Robert, électron libre ». Les médias prennent fait et cause pour ce lieu d’échanges et de vie qui plaît au public. La Mairie de Paris rachète les lieux au propriétaire en 2005 et après trois ans de travaux, l’association 59 Rivoli réintégre le site. Depuis 2009, une trentaine d’ateliers ouvre tous les après-midis. On croise les artistes à l’œuvre, qui ne logent plus ici. On passe donc bien du squat à l’aftersquat: autrement dit d’un lieu libertaire et anarchique à une cité d’artistes soutenu par les pouvoirs publics. Le lieu est ainsi devenu un centre culturel qui accueille des expositions et des concerts. Ary Scheffer et le Musée de la Vie Romantique Ary Scheffer, est un peintre hollandais arrivé en famille à Paris en 1811. Artiste romantique, il appartenait à ce courant artistique qui s’attachait moins à décrire les grandes aventures historiques collectives que les sentiments individuels. A moins de 30 ans, il devint professeur de dessin des enfants de Louis-Philippe, duc d’Orléans. Lorsque ce dernier devint roi, la carrière de Scheffer décolla. Comme bien d’autres, il transcrivit cette réussite dans la pierre et acheta, sur les pentes de la Butte Montmartre, une maison entourée d’un petit jardin. Il y recevait une société illustre. Il n’était pas rare d’y croiser, le même soir, des hôtes aussi prestigieux que Delacroix, Chopin, Liszt, George Sand, Charles Dickens. Le quartier alentours était d’ailleurs plébiscité par les artistes, il faisait office de « République des Arts et des Lettres ». Les descendants de Scheffer y demeurèrent jusqu’en 1956. Puis, dans les années 1980, les lieux devinrent le Musée de la Vie Romantique 16 rue Chaptal  
274,9 km
Distance
312 m
Montée
301 m
Descente
0

paris part2

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

20 km
Distance
209 m
Montée
200 m
Descente
0

2 Rue Rouget de Lisle, Issy-les-Moulineaux à 110 Rue de Tocqueville, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

8,2 km
Distance
41 m
Montée
30 m
Descente
0

59–61 Avenue Pierre Grenier, Boulogne-Billancourt à 30 Rue Jouffroy d'Abbans, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

14,8 km
Distance
277 m
Montée
267 m
Descente
0

187 Rue Gallieni, Boulogne-Billancourt à 45 Rue de Naples, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

10,5 km
Distance
38 m
Montée
26 m
Descente
0

16e Arr., Paris à 73 Boulevard Malesherbes, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

6,6 km
Distance
33 m
Montée
27 m
Descente
0

111 Route de la Reine, Boulogne-Billancourt à 1 Rue de Saint-Pétersbourg, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

9,9 km
Distance
78 m
Montée
68 m
Descente
0

1 Place Léon Deubel, Paris à 1 Place André Breton, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

8,7 km
Distance
54 m
Montée
36 m
Descente
0

Avenue Jean-baptiste Clément, Boulogne-Billancourt à 6 Rue Jacques Bingen, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

9,3 km
Distance
46 m
Montée
24 m
Descente
0

2 Place de la Porte Molitor, Paris à 2 Rue du Docteur Paul Brousse, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

9,6 km
Distance
71 m
Montée
82 m
Descente
0

De 4 Boulevard d'Auteuil, Boulogne-Billancourt à 1 Rue de Lisbonne, Paris

Itinéraire à vélo à Boulogne-Billancourt, Région Île-de-France, France

7,4 km
Distance
73 m
Montée
58 m
Descente

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